Leucan, la Société canadienne du cancer – Québec, la Fondation cancer du sein du Québec, la Fondation québécoise du cancer et PROCURE- Halte au cancer de la prostate ont cosigné une lettre d’opinion publiée ce matin dans le journal La Presse, faisant état des nombreux défis auxquels les organismes à but non lucratif œuvrant auprès des personnes atteintes de cancer et leurs proches font face depuis le début de la pandémie.
Après de longs mois de promesses de solutions imminentes de la part du gouvernement, la plupart des organismes énumérés ci-dessus font toujours face au silence, malgré plusieurs rappels. La crise liée à la COVID-19 constitue la plus grande difficulté financière qu’aient connue les organisations québécoises engagées auprès des personnes touchées par le cancer. Pour cette raison, Leucan et les cosignataires implorent le gouvernement du Québec à reconnaître l’apport essentiel des services offerts par ces organisations auprès des personnes atteintes de cancer et leur famille et de consentir de toute urgence aux demandes de soutien financier présentées au cours des derniers mois.
Les services offerts par Leucan et ces organismes : essentiels dans l’offre globale de santé et de services sociaux
Chacun de ces organismes prend en charge des responsabilités spécifiques qui font partie de l’offre globale de services du réseau de la santé : hébergement, aide financière directe, transport, soutien à domicile adapté, lignes d’écoute, financement de la recherche, accompagnement psychosocial, ressources d’information ou groupes de soutien. Ce soutien est multiforme et occupe une place essentielle dans un réseau qui est à bout de ses capacités. Chaque année, plus de 55 000 Québécoises et Québécois reçoivent un diagnostic de cancer et sont soutenus par ces organisations.
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